Category:Groupe du musée de l'Homme

**Réseau du musée de l'Homme**
	mouvements de la Résistance française à l'occupation allemande,
	Téléverser des médias
	Wikipédia
Nature de l’élément	Réseau ou mouvement de la Résistance française;
Date de fondation ou de création	1940;
Autorité
	Q3117831; identifiant VIAF: 173038420
	Reasonator; Scholia; Wikidocumentaries; PetScan; statistique; WikiMap; Locator tool; fichier KML; Chercher les représentations;

Images relating to the French Resistance Groupe du musée de l'Homme

Description[modifier]

English: The Groupe du musée de l'Homme (French: group of the museum of man) was a movement in the French resistance to the Nazi occupation during the Second World War.

In 1940 after the Appeal of 18 June of General Charles de Gaulle, a resistance group was created by intellectuals and academic led by Anatole Lewitsky and Boris Vildé along with Paul Hauet. They were joined by other groups in September. Raymond Burgard, René Iché, Claude Aveline, Marcel Abraham, Jean Cassou (who launched the newspaper Résistance), René-Yves Creston, Germaine Tillion and her mother Émilie Tillion were also part of the network.

To avoid their meetings attracting the attention of the Germans and the French police, they set up a "literary society", Les amis d'Alain-Fournier (Friends of Alain-Fournier).

Français : Le Groupe du musée de l'Homme est un Mouvement de la Résistance française à l'occupation nazie, lors de la Seconde Guerre mondiale 1939-1944.

Dès 1940, après l'appel du 18 juin lancé par le général de Gaulle, un groupe de résistance est créé par des intellectuels et des universitaires, parmi lesquels Anatole Lewitsky et surtout Boris Vildé qui dirige le réseau avec Paul Hauet. Ils seront rejoints par d'autres groupes en septembre : Raymond Burgard, René Iché, Claude Aveline, Marcel Abraham, Jean Cassou (qui lance le journal Résistance), René-Yves Creston, Germaine Tillion et sa mère Émilie Tillion firent également partie de ce premier réseau.

Pour ne pas attirer l'attention des Allemands et des services de police français lors de leurs réunions, ils se constituent en une « société littéraire », Les amis d'Alain-Fournier.