File:Guettard-1759-accidents des coquilles fossiles-2e partie-pl.1.png

Français : Jean-Étienne Guettard, 1759. Planche accompagnant son Mémoire sur les accidents des coquilles fossiles, comparés à ceux qui arrivent aux coquilles qu'on trouve maintenant dans la mer, 2e partie, p. 329-357.

Planche 1, à la suite de la p. 356.
Texte associé : p. 332 (fig. 1 et 2) ; p. 331-332 (fig. 3 et 6) ; p. 333 (fig. 4 et 5).
Explications p. 356 :
Figure 1 : Vis percée d'une quantité de petits trous faits par de très petits bivalves.
Figure 2 : Fuseau à quatre grands pas de vis & dont la queue est striée circulairement, percé de trous faits par des espèces de dates.
Figure 3 : Madrépore étoilé, dans l'épaisseur duquel il y a des trous dûs à des dates. (p. 332 : madrépore provenant d'un endroit à 1 lieue (4 km) au nord de Dax en Gascogne, enseveli dans un banc de coquilles, découvert par le président De Borda [voir l'article sur la Société de Borda].)
Figure 4 : Pierre criblée de trous faits par de semblables coquilles ; cette pierre est calcaire & d'un jaune sale. (p. 333 : cette pierre faisait partie de la collection de M. Clozier, apothicaire à Étampes, qui l'a trouvée dans les environs d'Etampes, près d'un endroit appelé le Temple - voir le Temple sur la carte IGN de Géoportail.)
Figure 5 : Petite bivalve du genre des dates, qui a percé la pierre de la fig. 4.

Figure. 6 : Date qui a percé le madrépore de la fig. 3.