File talk:Viaduc de Meudon - Chemin de fer paris - versailles - Rive gauche.jpg

From Wikimedia Commons, the free media repository
Jump to navigation Jump to search

La description précédente "Petit viaduc qui passe aujourd'hui sous le "grand" viaduc de Meudon - Chemin de fer Paris - Versailles rive gauche - 1836 soit avant que le grand viaduc ne soit construit - Ligne des Invalides" est farfelue. Il n'y a jamais eut, au viaduc du Val Fleury à Meudon, un premier petit viaduc de chemin de fer qui serait "passé" sous l'actuel viaduc construit ultérieurement. Il n'y a eut qu'un seul viaduc construit lors des travaux de la ligne Paris RG (Montparnasse) à Versailles RG pour franchir le Val Fleury séparant le coteau de Clamart et celui de Bellevue à Meudon (pour plus de détail sur la construction du viaduc, voir Auguste Perdonnet, Traité élémentaire de schemins de fer, Tome premier, Paris (1ère édition 1855, 2ème édition 1858 et troisième édition 1865)). Ce viaduc a été élargi dans les années 1930 dans le cadre des travaux d'électrification et de quadruplement des voies entre Paris et Versailles Chantiers, travaux initiés par Raoul Dautry pour "redynamiser" les Chemins de fer de l'Etat. 86.70.148.20 20:30, 24 April 2011 (UTC)[reply]

J’ai retrouvé une représentation de cette gravure dans une encyclopédie Larousse intitulée « L’histoire de France – 2000 ans d’images », parue en 1984 sous la forme de fascicules successifs d’une vingtaine de pages chacun et vendus au détail chaque semaine. La gravure est parue dans la fascicule n° 22 pour la période 1837-1846. Elle est légendée : « Inaugurée en 1839, la ligne de Paris à Versailles suscita la curiosité, mais aussi la crainte d’un éventuel accident » (Suit une autre gravure relative à l’accident de Bellevue le 8 mai 1842). Un examen attentif de la gravure qui nous intéresse à l’aide d’un loupe permet de lire ; sur un médaillon apposé sur le corps cylindrique de la locomotive, « Le Dragon » ; sur le garde corps du tender « Place des chauffeurs » et sur la berline (seconde voiture après le char à banc couvert) sous les fenêtres de chacun des 3 compartiments « entreprise / des chemins/ de fer ». Or la lecture de l’ouvrage de Jacques Payen « La locomotive en France des origines au milieu du XIXe siècle », PUL/CNRS, 1988, pages 100 et 114, nous apprend que la locomotive « Le Dragon » a été construite par Taylor en Angleterre pour la Compagnie du chemin de fer de Paris à Saint-Germain et livrée en 1837. Elle était en service au moment de l’inauguration de la ligne en août 1837. Une illustration graphique du modèle de cette locomotive figure en page 102, illustration n° 31. C’est une machine de type 111 (Patentee) de seconde génération. Reste un mystère ; à quel pont fait référence l’auteur sur sa gravure (le pont entre Le Pecq et la terrasse de St-Germain fut construite ultérieurement dans les années 1840). À vrai dire, je pense qu’il n’y a pas lieu de s’interroger longuement. Il s’agit d’une gravure populaire d’inspiration naïve (style « image d’Epinal ») qui avait pour but de familiariser l’opinion à ce nouveau mode de transport qui s’affranchit de tous les obstacles (l’examen de la gravure montre que le pont ne passe pas au-dessus d’une rivière mais d’un vallon. Derrière le pont coule une cascade. Le train entre à gauche dans un tunnel) et qui est l’occasion d’une promenade le long de la ligne comme le montrent les personnages à droite assis, au premier plan, à côté du pont et regardant le train passé dans un paysage, à l’arrière plan, d’une ville (immeuble) et de campagne (moulin et clocher d’une église). 86.70.148.20 08:08, 25 April 2011 (UTC)[reply]
Voici une reproduction du modèle de locomotive Patentee construite par Taylor pour le Paris St Germain
Neantvide (talk) 18:05, 25 April 2011 (UTC)[reply]