User:Delhoum brahim

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This 32 scientifiques recherches first in the Word of Delhoume Brahim algéria in the word is in french at translate address :Delhomme Brahmi BP 138 el eulma 19600 w/setif Algeria

Travaux scientifiques théoriques : 1Contrôle de parité Sur un ordinateur, le bit de contrôle sert à détecter tout caractère (ou information) erroné suite à un orange défectueux ou une mauvaise manipulation. Pour avoir plus de choix on doit recourir aux contrôles du bit pair ou du bit impair. a_ contrôle par bit d’imparité du bit"1"

 Si le nombretotal des bits impairs de l’information utile est impair, on ajoute un bit pair sinon on ajoute un bit impair. 

exp : A est 11000001, le nombre de bits impairs est égale à 3, donc impair ; alors on ajout "0" et A devient : 0 11 00 00 01 bitdecontrôle b_ contrôle par bit d’imparité du bit "0"

 Si le nombre  total des bits pairs de l’information utile est impair, on ajoute un bit impair sinon on ajoute un bit pair. 

exp : A est 11 00 00 01, le nombre de bits pairs est égale à 5, donc impair ; alors on ajout "1" et A devient : 1 11 00 00 01 bitdecontrôle c_ contrôle par bit d’imparité du bit"0" Si le nombre total des bits pairs de l’information utile est impair, on ajoute un bit pair sinon on ajoute un bit impair. exp : A est 11 00 00 01, le nombre de bits pairs est égale à 5, donc impair ; alors on ajout "0" et A devient : 0 11 00 00 01 bitdecontrôle


d_ Cas exceptionnels : Si tous les bits d’une information utile (ou message) sont pairs, on peut utiliser : _ Le contrôle par bit d’imparité du bit pair, si le nombre de bits de cette information est impair (signal "C" du tableau) . _Le contrôle par bit de parité du bit pair, si le nombre de bits de cette information est pair (signal "B" du tableau) . _ Le contrôle par bit d’imparité du bit impair, pour les deux cas précédents.

  • Le but de ces manipulations c’est d’éviter la confusion entre :

_ Résultat valable _ Absence d’information _ Absence d’alimentation et d’avoir deux contrôles en plus du contrôle d’imparité du bit "1" Tableau : Signal Bits du signal Imparité "1" Imparité "0" Parité "0" A 1010 1 0 1 B 0000 1 0 1 C 00000 1 1 0 D 111 0 0 1 E 1111 1 0 1 F 001101 0 1 0

  • Cette méthode "BD" est une procédure valable dans tous les cas.



Pensée philoscientifique 2Le mal et le bien a) Introduction : Dans les premiers temps de la pensée humaine, l’homme a expliqué les phénomènes qui l’entourent d’une façon élémentaire ensuite il s’est basé sur l’explication purement théologique puis philosophique. Progressivement et avec l’écoulement des siècles ; la science devenait indépendante de la philosophie. Depuis quelques années (ou décennies) ; les chercheurs et surtout les quantistes et les probabilistes…ont essayé de couvrir leurs théories scientifiques par des compléments philosophiques (et cela dans l’extrême limite de la pensée purement scientifique). De notre côté on a pu établir en 1981, cette pensée sur le mal et l ben qui définit scientifiquement, un phénomène expliqué uniquement d’une façon philosophique. Ainsi, tout chercheur intéressé est invité à aborder d’autres phénomènes du genre. Enfin, on propose le nom de «philoscience»toute étude donnant un aspect scientifique à un phénomène classé spirituel. b) Texte : L’homme a toujours voulu connaitre, comprendre et évaluer tout ce qu’il y a et tout ce qui se passe dans ce monde vaste, en essayant de dévoiler ses secrets. Alors il est toujours en train de déployer un grand effort pour percer ce mystère. Il essaye d’éprouver par expérience toutes les théories avancées et en même temps expliquer théoriquement tous les phénomènes constatés dans la nature ou au niveau du laboratoire.

  Dans cet ouvrage on a essayé d’expliquer scientifiquement une pensée exploitée jusqu’à maintenant, uniquement du coté philosophique 

On parle encore du mal et du bien, on les considère comme immatériels et on les explique d’une manière spirituelle. Le mal et le bien peuvent toucher moralement ou physiquement, directement ou indirectement l’être vivant, comme ils peuvent toucher la nature inerte en modifiant son état, son mouvement ou sa nature….

  Le mal ou le bien quoi qu’ils en soient moraux ou physiques, se répercutent toujours sur l’être vivant dont les conséquences sont des pertes ou des gains d’énergie.
  On sait d’après le concept "masse énergie" que si un système perde de l’énergie sa masse diminue, elle augmente au contraire si le système gagne de l’énergie.

Donc, si par exemple un mal atteint un être vivant, il lui provoque une perte d’énergie ; cette énergie, on pourra la reconvertir en masse en appliquant la loi donné par l’équation d’Einstein :

 :Variation de l’énergie (J)
 :Variation de masse (Kg)
           :Célérité de la lumière (m /s)

En estimant une quantité d’énergie et on suppose qu’elle est le résultat d’un mal ou d’un bien déterminé, on pourra évaluer la masse de ce mal ou de ce bien.

 Si par exemple, on suppose qu’un être a perdu une énergie de 83joules :

N.B : pour le bien acquis, passant obligatoirement par un mal déterminé, on doit considérer celui qui l’emporte (et vis versa). 3 Masse instantanée du photon c) Texte : Du principe de conversion masse-énergie et énergie-masse, on peut déduire que le photon qui est constitué d’un champ électrique et d’un champ magnétique donne naissance à la matière à chaque rencontre de ces deux champs, et cela au niveau de chaque nœud de vibration. La masse qui nait "masse instantanée du photon" existe pendant un instant extrêmement court.

 De cette thèse va découler d’autres études, tels que :                                       aspect et vie du photon, interprétation des phénomènes lies aux radiations électromagnétiques.
 Le rayonnement électromagnétique est formé de photons ; corpuscules animés de la vitesse "C", célérité de la lumière et qui transporte un quantum d’énergie .
   : Constante de plank  (J_S)
 :Fréquence du rayonnement (HZ)
 L’énergie et la matière, l’une se transforme pour donner l’autre. Lors d’une réaction nucléaire, une partie de matière se transforme en énergie….
 Dans une cellule photovoltaïque l’énergie solaire se transforme en électricité. 
 Au niveau du nœud, les deux champs deviennent un seul être "immuable", la particule perd son caractère ondulatoire, son aspect électromagnétique…
 De là, on peut admettre que le rassemblement du champ électrique  et du champ magnétique  dans chaque nœud de vibration, donne naissance à la matière. 
 Cette matière naissance possède une durée très courte.
 On peut appeler la masse qui nait et s’annule très rapidement "masse instantanée du photon" et la durée d’existence de cette masse "Durée de masse".
 Postulant qu’une fraction seulement de l’énergie véhiculée par le photon participe à la naissance de cette matière au niveau du nœud.
 Les mages des deux champs se rencontrent suivant une section quelconque, dépendant des états où se trouvèrent juste avant leur contact.
 A un moment donné, les volumes des deux mages forment un volume unique en se quittant progressivement.
 Le photon véhicule une énergie  équivalente à  , on imagine une particule de masse  qu’onappelle "particule initiale", qui, bombardée, se transforme en une quantité d’énergie équivalente à celle du photon.

(Énergieau repos ou énergie de masse, pour et )

:Valeur naturelle (rapport de deux valeurs naturelles  et )
:Longueur d’onde du rayonnement (m)
:Nombre d’alternances pour  vibrations (ou oscillations) ; ce qui correspond au nombre de nœuds des deux champs  et   par second.

La masse de rencontres est équivalente à la masse de la particule initiale . On a :





: Masseinstantanée du photon
  • En assimilant le rayon du nœud au centième du rayon de l’électron :
Vaut : seconds.

d) Addition – prolongements: Faisceau de photons :

 Pour un faisceau de photons, un nombre quelconque de particules participe à chaque instant pour la naissance d’une masse  , qui représente la masse instantanée globale de tous les photons qui ont participé à cet instant donné.

4 Décalage vers le rouge (redchifts)

 Le décalage vers le rouge des galaxies de forme elliptique à bras spiraux ainsi que les  redchifts anormaux….proviennent des chocs des photons entre eux aux moments des nœuds ;dont la spirale des bras joue un grand rôle dans la convergence des photons.  
 Aussi les chocs peuvent se produire entre les photons et des particules aussi légères.
 (La diffusion reste insignifiante).

5 Courbure : La courbure d’un signale électromagnétique passe à proximité d’un astre, dépend de la probabilité d’existence des masses à chaque instant, qui à son tour dépend du nombre de photons émis et de leurs langueurs d’ondes.

 Le rayon de courbure d’un photon est d’autant plus faible que sa longueur d’onde est petite (donc plus dévié).


6TROU NOIR : Nos instruments ne détectent aucun signal provenant d’un trou noir mais si un jour nos instruments tomberont sur un trou noir jeune (en formation) , ils surement recevoir les signaux échappés du trou juste avant que la vitesse de libération n’atteigne celle de la lumière ( notamment les ondes électromagnétiques de faibles fréquences )

7 Système de numération, changement de base (méthode B.D) Méthode B.D :

Dernière équation :

Division du dernier quotient non nul, inférieur à la base  

Alors :

On sait que

   On met   en facteur ;


Théorème : pour tout entier naturel , il existe un entier et entiers naturels

Au plus égaux à tels que :


Ou



Ex :

a. Méthode ancienne :


b. Méthode B.D :

8 Equation du second degré Méthode B.D : a. Dans R :


b. Dans C : même chose que dans R sauf pour

Règle : les solutions de l’équation sont les solutions de l’équation du second degré :

Ex 1 :

Ex 2 :

L’équation a une racine double :


Ex 3 :

Dans R : l’équation n’a pas de solutions Dans C :

9 La connaissance humaine a. Introduction :

  La connaissance de l’univers au sens empirique désigné : sensation et perception.

 La connaissance, sans tenir compte d’aucun point de vue, englobe toutes les sciences et techniques ; des plus simples aux plus complexes. Elle explique les rapports entre la pensée et tout ce qui nous entoure sous forme d’ensemble d’idées scientifiques, ou philosophiques. On cite : Mathématique-Physique-Chimie-Philosophie-Sociologie-Histoire-Littérature-Aéronautique-Architecture…. b. Evolution :

 La connaissance humaine peut passer par les trois stades universellement connus :

Evolution-Stagnation-Régression.

 Au cours des deux derniers siècles ; stagnation, n’ont pas duré longtemps, mais si on considère l’histoire de toute notre ère, ils ont pris énormément de temps.

 Exemple de régression : - Transformation des métaux ordinaires en métaux nobles, chez les alchimistes. - La fumée préfère le haut, les corps lourds préfèrent le bas … - L’eaua horreur du vide (pompe à eau)  Exemple de stagnation : - Invariance de la masse - Notion de l’éther pour le transport de la lumière….  Exemple d’évolution : - Le calcul intégral, la relativité, la physique ondulatoire… - La découverte de la fusée…  Pour connaitre d’avantage ; l’homme continue sans cesse d’inventer et de découvrir.

 Inventer, c’est créer du nouveau ; découvrir c’est dévoiler ce qui existe déjà.

L’invention et la découverte, l’une a besoin de l’autre. Pour découvrir le pôle nord, l’homme a besoin de machines : Avion-Bateau-Outillage… L’invention de la voiture, a besoin du pétrole qui est une découverte. • Tout ce qui est inné, ainsi que l’intuition spontanée, sont à exclure parce qu’ils sont dépourvus de raisonnement et manquent de rapport net avec la pensée. Exemple : Un homme simple, qui voit deux billes identiques à travers un verre dont l’une des billes est agrandie par une loupe incorporée au verre ; il nous répond spontanément par son intuition et son habitude qu’il y a une bille plus grand que l’autre.

    Par contre, le même cas se présente pour un physicien, il nous répond la même chose en imposant sa condition sur le verre, c'est àdire si le verre est parfaitement homogène et ne présente pas d’aberration.

c. Classification "BD" : Il y a deux groupes de rapports entre la pensée et les objets : 1) Rapport entre la pensée et les objets naturels. 2) Rapport entre la pensée et les objets artificiels. Ces deux groupes se subdivisent en dix sous-groupes : 1) Naturel simple : - Connaissance des saisons. - Remarque des décalages entre le jour et la nuit. - Variation de l’aspect de la lune. 2) Artificiel simple : - Fabrication des outils en pierre. - Constriction de radeaux. - Sélection des aliments. 3) Naturel complexe résolu : - Périhélie de la planète Mercure. - Découverte de la planète Pluton. - Détection des pulsars. 4) Artificiel complexe résolu : - Intelligence artificielle (Robots-Ordinateur-…). - Vitesse supersonique. - Microscope électronique. 5) Naturel complexe soluble : - Protection de la couche d’ozone. - Nature du sol de la planète Mars. - Aurores polaires. 6) Artificiel complexe soluble : - Station orbitale permanente habitée. - Stockage des déchets radioactifs. - Habitation parasismique efficace (pour toutes les zones à risque). 7) Naturel complexe insoluble : - Fin de l’univers. - Dimensions du cosmos. - Connaissance de l’âme. 8) Artificiel complexe insoluble : - Attribution avec précaution vitesse et position à une particule-quanton. - Calcul des trajectoires d’une poignée de billes jetées au hasard. - Energie exacte libérée par une bombe nucléaire. 9) Naturel incertain : - Climat futur - Graviton - Vie extra-terrestre 10) Artificiel incertain : - Eloignement de la terre par des fusées appropriées quand le soleil devient géant rouge. - Bombe à fusion matière-antimatière. - Médicament anti-cancer, anti-sida… NB : • Pour le sous-groupe des complexes solubles, où la recherche est en cours ; une fois l’étude achevée, il sera classé dans le sous-groupe qui le précède. • Pour le sous-groupe incertain, il s’agit soit d’une proposition soit d’une recherche scientifique ou philosophique dont le résultat est incertain ; il peut arriver un changement dans le sous-groupe, comme dans le cas des complexes solubles (ci-dessus). 10 Produit matriciel METHODE DE DELHOUM Introduction : Cette nouvelle méthode sur le produit matriciel qui est proposée par l’auteur est très facile à manipuler et demande moins de concentration ce qui diminue amplement la fatigue pour l’utilisateur, tout en évitant les risques d’erreurs.

Dans le corps des réels :




Cherchons la transposée du deuxième membre :




Remarque : Une matrice n’est pas un vecteur et réciproquement, mais il y a un isomorphisme entre un espace vectoriel de dimension m sur K et l’ensemble des matrices à m lignes et n colonnes, dont les éléments sont les coordonnées des vecteurs par rapport à une base choisie. On interprète A comme un ensemble de m vecteurs lignes : On note alors :

On note aussi :

On interprète B comme un ensemble de n vecteurs lignes : On note alors :


Relation finale : Le produit A . B est interprété comme suit :

Exemple :


On note :


11 Déterminant Formule de Delhoum : Déterminant d’ordre (3 ×3) : Pour le déterminant d’ordre 3 × 3, on lui adjoigne le déterminant même. Exemple : Δ = Ancienne méthode : Δ = Δ =1× -4× +2×

  = 1×5×9 –1×6×8 -2×4×9 +3×4×8 +2×6×7 –3×5×7
          a            b          c            d            e            f




Nouvelle méthode : + + + - - -

         1   4   7   1   4   7   

Δ = 2 5 8 2 5 8

         3   6   9   3   6   9      
         1er dét              dét adjoigne
                                                                dét double.

Les produits du déterminant donné moins les produits du déterminant double. Δ = 1×5×9 +4×8×3 +7×2×6 -1×8×6 -4×2×9 –7×5×3

  = 1×5×9 +3×4×8 +2×6×7 -1×6×8 -2×4×9 –3×5×7

a d e b c f Déterminant d’ordre 4 ×4 :

        1   5    9    13   

Δ = 2 6 10 14

         3   7   11   15
        4   8   12   16

Ancienne méthode

        6   10   14         2   10   14         2   6   14          2   6   10

Δ =1 7 11 15 - 5 3 11 15 + 9 3 7 15 - 13 3 7 11

        8   12   16          4   12   16         4   8   16          4   8   12
              11  15                     7    15                        7    11                 11  15

Δ= 1×6 12 16 -1×10 8 16 + 1×14 8 12 -5×2 12 16


+ 5×10 -5×14 + 9×2 -9×6 + 9×14 -13×2 +13×6 -13×10 Δ = 1×6×11×16 - 1×6×12×15 - 1×7×10×16+ 1×8×10×15

           a                        b                      c         	       d

+ 1×7×12×14 - 1×8×11×14 - 2×5×11×16+ 2×5×12×15

          e                    f                     g	h

+ 3×5×10×16 - 4×5×10×15 - 3×5×12×14+ 4×5×11×14

           i                     j                     k	L

+ 2×7×9×16 - 2×8×9×15 - 3×6×9×16+ 4×6×9×15

       m                  n                  o                  p

+ 3×8×9×14 - 4×7×9×14 - 2×7×12×13+ 2×8×11×13

       q                   r                   s                    t

+ 3×6×12×13 - 4×6×11×13 - 3×8×10×13+ 4×7×10×13

       u                     v                    w                   x

Nouvelle méthode :

Combinaison 1 : 1 2 3 4

Combinaison 2 : 1 4 2 3


Combinaison 3 : 1 3 4 2

         +   -   +      -      -   +   -       +	

1 5 9 13 1 5 9 13 2 6 10 14 2 6 10 14 C1 = 3 7 11 15 3 7 11 15 4 8 12 16 4 8 12 16

         +   -   +      -      -   +   -       +	

1 13 5 9 1 13 5 9 2 14 6 10 2 14 6 10 C2 = 3 15 7 11 3 15 7 11 4 16 8 12 4 16 8 12

         +   -   +      -      -   +   -       +	

1 9 13 5 1 9 13 5 2 10 14 6 2 10 14 6 C3 = 3 11 15 7 3 11 15 7 4 12 16 8 4 12 16 8

Δ = C1×C2×C3 = 1×6×11×16 - 4×5×10×15 + 3×8×9×14

                                  A                    j                       q
- 2×7×12×13 - 1×8×11×14 + 2×5×12×15 - 3×6×9×16 
        s	f                     h	                   o

+ 4×7×10×13+ 1×7×12×14 - 4×6×11×13 + 3×5×10×16

         x                    e                     v	i

- 2×8×9×15 - 1×7×10×16 + 2×8×11×13 - 3×5×12×14

       n                 c                     t                     k 

+ 4×6×9×15 + 1×8×10×15 - 4×7×9×14 + 3×6×12×13

          P                  d                    r                   u

- 2×5×11×16 - 1×6×12×15 + 2×7×9×16 - 3×8×10×13

       g	b                    m                 w

+ 4×5×11×14

     L

Nombre de produit : P =n! Pour le déterminant d’ordre 3×3 : P =3! = 6 Pour le déterminant d’ordre 4×4 : P =4! = 24 Pour le déterminant d’ordre 5×5 : P =5! = 120

Nombre de déterminants doubles :

           n !

C =

         2×n

C N (N : ensemble des entiers naturels) Pour déterminant d’ordre 2 :


         2! 1

C= = N on lui adjoigne rien.

       2×2         2

Pour le déterminant d’ordre 3 :

         3! 6

C= = = 1.

       2×3         6

Pour le déterminant d’ordre 4 :

         4! 24

C= = = 3.

       2×4         8

Signes des produits : Déterminant d’ordre impair : La somme des produits du 1er déterminant moins la somme des produitsdéterminant adjoigné. Déterminant d’ordre pair : Pour le 1er déterminant le signe des produits vaut : (-1)i+J Pour le déterminant adjoigné le signe des produits vaut : (-1)i+J+1 Calcul du déterminant par simplification :

        1   2   1           

Δ = 3 2 4 = 21

        5   1   2 

• On retranche la 1ere ligne de la 2eme ligne.


        2   0   3           

Δ = 3 2 4 = 21

        5   1   2 

• On retranche la 2eme ligne de la 3eme ligne multipliée par 2.

        7   0   3           

Δ = 7 0 0 = 21

         5   1   2 

• On calcul maintenantΔ.

         7   0   3            0     0           7   0            7    0

Δ = 7 0 0 = 2 1 2 - 0 5 2 + 3 5 1

         5   1   2                              
   = 0 – 0 + 21 = 21
        d1 b1 c1

∆ = d2 b2 c2

        d3 b3 c3

=a1(b2c3-c2b3)- b1(a2c3- a3c2)+ c1(a2b3- b2a3)

  = a1A1+ b1B1+ c1C1 - b1(a2c3- a3c2)
  = b1(a3c2- a2c3)                                                                                   

∆1= -a2(b1c3- b3c1) + b2(a1c3- a3c2) - c2(a1b3- a3b1)

    = a2(b3c1- b1c3) + b2(a1c3- a3c2) + c2(a3b1- a1b3)
    = a2A2+ b2B2+ c2C2

∆2= a3(b1c2- b2c1) - b3(a1c2- a2c1) + c3(a1b2- a2b1)

    = a3(b1c2- b2c1) + b3(a1c2- a2c1) + c3(a1b2- a2b1)
    = a3A3+ b3B3+ c3C3.

A1, B1,C1, A2, B2,C2, A3, B3,C3sont les mineursd’ordre 2 de ∆

En remplaçant la première colonne par la deuxième colonne, on a :

                      ∆′ = b1A1+ b2A2+ b3A3= 0

En remplaçant la première colonne par la troisième colonne, on a :

                     ∆″ = c1A1+ c2A2+ c3A3= 0

∆=a1A1+a2A2+a3A3=a1A1+b1B1+c1C1 12 Théorème de Delhoum : Soit un polynôme

               A(x)=anxn+an-1xn-1+…..+a2x² +a1x1+a0

an, an-1……, a0 non tous nuls, la dérivée d’ordre(n-1) du polynôme, admet comme solution, le nième de la somme des racines du trinôme anx² + an-1x + k = 0 k : constante But : si on cherche la racine de la dérivée d’ordre (n-1) (qui est en même temps la dernière dérivée non constante); on cherche la somme des racines de anx² + an-1x + k = 0 et la diviser par n, travail rapide, sans passer par plusieurs dérivées. (pour le degré 3, on cherche directement le point d’inflexion). Démonstration : A(x)=anxn+an-1xn-1+………………a2x²+a1x1+a0 A(1)(x)=nanxn-1(n-1)an-1xn-2+…………..+2a2x+a1 …………………………………………….……........ …………………………….………………………… ………………………………….…………………… A(n-1)(x) =n(n-1)(n-2)×…×2anx+(n-1)(n-1)×…×2×1an-1 Pour a(n-1)x = 0 on a:

        -an-1    (n-1)(n-2)×…... ×2×1      1        an-1

x = = (- ) an n(n-1)(n-2)×…...×2×1 n an

Cherchons de la somme des racinesdutrinôme: anx²+an-1x+k=0

   dans ax²+bx+c=0         	

Le nieme de S vaut: Exemple: A(x)=4x3-2x²+3x-1 y(1)=12x²- 4x y(2)=24x-4

y(²)=0 24x – 4 = 0  x=1/6

Avec la nouvelle méthode on a : 4x² - 2x + k = 0 =1/2

                                   n = 3      

Le nieme de S vaut : =1/6

13 GéométrieNouvelle vision Suite à la géométrie que connaissons le point est sans parité et la droite d’après Euclide est une longueur sans largeur on aura jamais une plan ainsi que si la droite n’a ni largeur ni épaisseur, on aura jamais un espace ; par habitude on dit que deux droites ou bien trois points forment un plan, mais ces points en réalité n’existent pas ; pour moi le point est un cube de dimensions

 Dont :  

Une droite est formée d’une infinité de ces cubes L’intersection de deux droites est des parallélépipèdes, des prismes … La vue de face du point de la sphère est un trapèze isocèle dont la surface du haut est celle du bas sont des arcs de cercles de dimension tendant vers zéro. L’arc supérieur est plus grand. Ainsi que pour le tore. Le point central de la sphère est une sphère de dimension tendant vers zéro. La vue de face du point central du tore est un disque de dimension tendant vers zéro. 14 Convention principale Démonstration par Delhoum.Brahim Lors de la découverte des dénombrements(factorielle….) ; Les mathématiciens ont rencontré un obstacle majeur qui se situe dans la relation ‘’zéro factorielle’’ qui vaut ‘’un’’ qui était non démontrable et en même temps vérifiable dans tous les calculs qui la concerne ; alors les grands mathématiciens du monde développé en ce moment ont opté pour qu’elle soit une convention.(c’est à dire 0!=1)

qui est vérifiable dans tous les cas et non démontrée. Convention : Définition : Accord permanent entre des personnes des groupes, associations ou états…. Zéro factorielle(démonstration) :

Le zéro factorielle est égale à 1 par convention, mais à partir de ce cours il sera démontré ; alors il ne reste plus à dire que zéro factorielle vaut 1 par convention .

Démonstration : n = n(n-1)(n-2)….x3x2x1 On pose (n+1)

                 n =     
                           n+1
      (n+1)(n)(n-1)(n-2)x….x3x2x1

n=

                        n+1    
   =  n(n-1)(n-2)x….x3x2x1 =  n
             4     4x3x2x1                             

3= = =3x2x1 = 6 4 4

       3     3x2x1                  

2= = = 2 3 3

       2       2x1      

1= = = 1 2 2


         1          1

0= = = 1

                1           1          

15 La légende d’Archimède Archimède (287-212 avant J-C), savant grec, fondateur de l’hydrostatique qui apporta également sa constitution en statique, mécanique et géométrie. Il a mis au point des lance-pierres gigantesques (catapulte) pour attaquer les romains. Mais la légende qui dit qu’Archimède a construit des paraboles géantes qu’elles les a utilisé pour enflammer les navires ennemis, n’est pas vraie ; car pour construire ces miroirs géants la technologie de son temps ne lui permet pas de le faire, il faut aussi que le hasard soit avec lui le moment de la bataille, c'est-à-dire que le soleil soit en face de ses paraboles. Pour l’hélice, c’est lui qui a donner la formule seulement l’hélice et connue avant lui par les pécheurs, car l’oeusophagedu requin est une hélice par laquelle la nourriture passe dans l’estomac du requin en tournoyant cette hélice. Son œuvre est très riche, il eut une production mathématique exceptionnelle, une partie nous est parvenue dans des traités comme la mesure du cercle, la quadrature de la parabole, la sphère et le cylindre, les spirales, les cercles tangents, l’arénaire et les corps flottants…… Archimède est aussi un grand mécanicien, il inventa la vis sans fin, l’engrenage et la poulie mobile. Il a aussi des découvertes considérables en géométrie et en physique mathématique.


16 Le codage par trous La flûte est un instrument de musique à vent, de forme tubulaire, actionnée par le souffle que l’utilisateur dirige contre le bord de la plaque de l’embouchure. La flûte tubulaire est un tube percé de six trous, l’interprète souffle en fermant des trous et en laissant les autres ouverts et à chaque combinaison on aura un son déterminé en mettant l’air en vibration ; si on considère qu’un trou fermé représente 0 et un trou ouvert représente 1, ou aura une ressemblance entre la bande perforée utilisée avant la bande magnétique et le codage dans l’espace provoqué par la flûte qui est inventée depuis 9000ans avant J.C. on considère que chaque son déterminé correspond à une ligne de la bande perforée. 17 Le paradoxe du singulier et du pluriel Le nombre un est singulier Le nombre deux est plus de deux est pluriel Lorsqu’il s’agit des nombres décimaux (comme en compatibilité et finances par exemple) Qu’elle est la frontière entre le singulier et le pluriel. Si on prend le nombre 1,999….9 est singulier pourtant ce nombre et le nombre 2 sont presque identiques. Si on place une infinité de 9 à droite de 1, après la virgule ; le nombre d’objets reste toujours singulière pourtant la différence entre ce nombre et le nombre 2, tend vers zéro. 18 Extinction des dinosaures La théorie la plus répandue jusqu’à maintenant sur l’extinction des dinosaures depuis plus de 65 millions d’années s’agit d’un météorite géant tombé sur la terre prés d’une côte mexicaine. Pour vérifier cette théorie, je propose au chercheurs qu’ils doivent vérifier si le sol du point d’impact présente des ondulations qui sont amorties plus qu’on s’éloigne du point d’impact ; car en touchant le sol le terrain qui entoure le point d’impact est chauffé et se met en vibrations qui restent en se solidifiant (ondes de Fresnel). 19Composition des vitesses V : vitesse du fluide dans le tube (exemple le benzène). V' : vitesse le lumière dans le fluide au repos. V : vitesse le lumière dans le fluide à la vitesse V. On prend comme fluide le benzène : V = 50km/s V' = 200 000km/s D’après la relativité d’Einstein :

La formule que je propose est : V =nC C : célérité de la lumière. C = 299792458×108m/s







20 La pierre taillée A l’âge de la pierre, l’homme utilisait la pierre comme outil essentiel dans sa vie, en tapant deux pierres l’une sur l’autre l’une d’elle casse en laissant des tranchants vifs qu'il utilisait pour couper la viande et pour la chasse. Ensuite l’homme a découvert le bronze, il remplaça alors tous ses outils et ses ustensiles par du bronze et depuis ce temps là, l’homme découvre l’un après l’autre l’élément chimique. De nos jours presque tous les éléments chimiques qui nous entourent sont découverts et même d’autres éléments qui n’existent pas dans notre environnement, en combinant les éléments entre eux, on obtient des milliers de matériaux ; mais l’homme ne s’est pas libéré de la pierre ; en collant des grains de pierre il obtient ce qu’on appelle "meule" ; avec cette meule on peut affûter des outils extra- durs afin d’avoir des pièces complexes et des surfaces ultra polies. 21 Manipulation des nombres 10 = 0 + 0 + 10 11 = 1 + 1 + 9 12 = 2 + 2 + 8 13 = 3 + 3 + 7 14 = 4 + 4 + 6 15 = 5 + 5 + 5 16 = 6 + 6 + 4 17 = 7 + 7 + 3 18 = 8 + 8 + 2 19 = 9 + 9 + 1 20 = 10 + 10 + 0 En faisant la sommede la 1er colonne, ontrouve q’elle est égaleà la somme dessommes des 3 autrescolonnes qui sontidentiques : (10+11+…+20) = 3(0+1+…+10) On Règle :

est égale à la somme des deux nombres extrêmes divisée par 10.

Exemple : (50+51+…+60) = (0+…. +10)

Règle générale : La somme des suivants de 0 à (n+1)101 :

Avec


Exemple : 0 + 1 + …+ 10 + 11 + … + 40 = ? 40 = 4×101 n + 1 = 4 n = 3 (n+1)[ (n+1)-5n] = 4(55×4-5×3) =820 22 Avant le big bang Le big bang est une grande explosion qu’a connu l’univers après condensation de la poussière en donnant les quarks puis les mésons les photons , les électrons, les protons, les neutrons ensuite la matière et l’anti-matière qui donne naissance aux étoiles, galaxies, anti-galaxies et planètes………. On pense que tout a débute par une implosion énorme et cela avant le big bang, cette implosion est produite par immobilisation de l’énergie électromagnétique et qui a donné naissance à l’œuf initial. (Univers ultra condensé). 23 ECRITURE L’écriture est un système de représentation graphique d’une lange au moyen de signes inscrits sur un support et qui permet l’échange d’informations sans le support de la vois. Au début l’écriture est apparue en Mésopotamie vers – 3300, en Égypte vers – 3200, à chypre vers – 2200, en crête vers – 1900, en chine vers – 1400 et en Amérique centrale vers – 900. Son origine est de petites formes en argile (glaise) qui symbolisent des nombres sous trois aspects : - Des sphères - Des cônes - Des cylindres A l’âge de bronze et au début de l’âge du fer, un même signe peut désigner soit une syllabe, soit un objet où soit une idée.

Le support n’est pas obligatoirement de la glaise, mais on la dessine ou en la peint sur la peau des animaux, le papier ou le papyrus.

Elle orne les pans des mures sous forme de peinture ou de sculpture. Elle peut être aussi, sculptée sur des vases de pierre ou de métal et sur des bijoux. Les types d’écritures : Alphabet, syllabaire, alpha syllabaire, logogrammes, idéogramme, cunéiforme, pictogramme, abjad, braille, sténographie… En remarquant par exemple un E sur l’aile d’un papillon on dit que la nature a imité l’homme, mais non plus c’est l’homme qui a débuté par imiter la nature en prenant des signes sur les ailes des papillons, des peaux de zèbres et de serpents… Pour l’écriture qui s’écrit du haut vers le bas comme le japonais par exemple, l’homme a suspendu la peau des serpents verticalement et il a pris les signes qui lui paraient faciles en donnant à chaque signe une expression donnée. 24 Maya et le singe Charles Darwin, naturaliste né en Angleterre en 1809, d’un père médecin et d’un grand père naturaliste. En 1832 ; en trouvant en Uruguay des fossiles de grands tatous, il constata que l’espèce a diminué de taille, c’est la première hypothèse de l’évolution. En 1835, ses observations l’amènent à l’ébauche de sa théorie, il remarque qu’une même espèce retrouvée sur plusieurs îles présente des différences notables. En 1837, il écrit un livret sur la transmutation des espèces. En1859, il publia son ouvre sur la sélection naturelles des espèces.

Pour Lamarck sa théorie transformiste est fondée sur deux principes.

1-la complexification croissante de l’organisation des êtres vivants sous l’effet de la dynamique interne propre à leur métabolisme. 2- la diversification des êtres vivants en de multiples espèces de circonstances variées auquelles ils sont confrontés. Charles Darwin annonça aussi que l’homme est descendant du singe, théorie qui est mal acceptée par la plupart des savants cars si l’homme vient du singe et cela depuis plusieurs millions d’années; jusqu’à maintenant le singe ne sait même pleurer ou se tenir bien debout. Mais avant Darwin de plusieurs siècles le peuple maya d’Amérique croit que le singe revient au même ensemble que les être vivants, ce qui veut dire qu’ils ont se sont séparé avant ça. 25 Gravitation Selon l’article scientifique paru dans la revue (science et vie) du mois de mai 2002; la gravitation qui représente le dernier bastion de la mécanique classique est avérée quantique. La chute des corps décrite par l’équation du physicien anglais Issac Newton Puis celles du physicien allemand Albert Einstein ne tiennent plus devant les prévisions des quantistes ou tout n’est qu’incertitude et discontinuité. Avec sa machine "Défi" à l’institut Laue Langevin de Grenoble, le physicien russe Valery Nesvighevsky a pu réaliser l’expérience qui contredit définitivement Einstein. La principe del’expérience consiste à faire rebondir de neutrons (ultra-froid) sur un table, d’où d’après la mécanique classique les neutrons devraient rebondir dans cette machine selon une trajectoire parabolique, alors que les résultats del’expérience contredisent ces prédictions ; car les neutrons soumis à la gravitation n’ont pas une trajectoire lisse, mais en escalier ce qui est conforme à ce qui prévoit la mécanique quantique. né en 1954 à El Eulma (Sétif), j’ai pu établir en 1980 (à l’age de 26ans) une étude théorique sur le photon, brevetée en 1984 à l’institut national de propriété industrielle sous le numéro 7110 mars 1984 ; cette étude je l’ai inséré dans mon livre intitulé " Recherche scientifique variée" édité en 1998. Dans le chapitre " Masse instantanée du photon " j’ai montré (postulé) que le photon possède une masse instantanée mi=3,684688910-51Kg qui naît au niveau de chaque noeud de vibration , lieu de rencontre du champ magnétique et du champ électrique , la durée de vie ou de masse est estimée très courte . En annexe de cette étude de se chapitre et comme conséquences de cette étude j’ai expliqué que la courbure d’un rayon lumineux (ou signal électromagnétique) passant à proximité d’un astre, dépend de la probabilité d’existence de masse dm à chaque instant, qui à son tour dépend du nombre de photons émie et de leurs longueurs d’ondes. Le rayon de courbure d’un photon est d’autant plus faible que sa langueur d’onde est petite (donc plus dévié). Alors du fait que chaque photon du signal est attiré par l’astre qu’au niveau du nœud de vibration et libéré au ventre, cela lui permet d’avoir une courbe en escalier et non une courbe lisse dont les marches sont directement propositionnelle à la longueur d’onde. La déviation en gros dépend de la masse de l’astre, de la distance de son centre au rayon lumineux, de la célérité du rayon lumineux et de sa longueur d’onde… Si l’astre est une étoile par exemple, son degré d’activité s’ajoute aux paramètres suscités. Si on considère que la vitesse de la gravitation "graviton" est égale à la célérité la lumière, son effet sur le photon durant le moment ultracourte de la création de la masse instantanée (ou durée de masse) est justifié. Comme d’après le physicien Français Louis de Broglie, toutes les particules ont comme la lumière un comportement qui peut présenter deux aspects, soit corpusculaire soit ondulatoire, une future expérience sur le photon donnera aussi une trajectoire en escalier. Finalement je propose au corps de l’armée du monde, après élaboration des équations de cette mécanique complexe, de réviser les trajectoires des projectiles tirés des chars, des bombes larguées d’avions, des satellites artificielles… 26 Sablier Si on prend un plateau circulaire et on met une horloge au centre et une autre à la vitesse v, on constate que l’horloge qui est au centre est en avance par rapport à celle qui trouve à la périphérie d’après la relativité c’est le temps qui s’est contracté à la vitesse V. Pour moi c’est la force centrifuge qui a fréné les électrons de l’horloge périphérique, l’horloge

du centre du plateau n’est  soumise à aucune force centrifuge pour mettre cette expérience  en valeur , on prend deux sabliers,on pose l’un au centre du plateau et l’autre à la périphérie , on constate que dans le sablier du centre les grains descendent normalement mais pour le sablier périphérique les grains sont soumis à la force centrifique qui les pousse vers la paroi du sablier ce qui            freine la descente des grains, alors on aura un temps plus faible que celui du sablier central.       

27 Datation La datation consiste à déterminer l’intervalle de temps qui sépare l’objet daté du temps présent. On parle ici de la datation absolue qui, mise en œuvre abouti à un résultat chiffré exprimé en unité de temps. La dation au carbone 14 a été découverte au 20eme siècle par willard Frank Libby ce qui a révolutionné l’archéologie. Son principe est de déterminer la quantité de carbone radioactif disparue depuis la mort de l’objet (fossile), d’où on peut estimer l’âge des matériaux organiques à l’aide d’un chronomètre radioactif. Si la dation est coûteuse et destructive, on préfère dater les sédiments qui entourent l’objet plutôt de dater l’objet lui-même. Datation au carbone 14 : La demi-vie du carbone est de 5730 ans (c'est-à-dire que la moitié des atomes du C14 aura disparu en 5730 ans). Comme la quantité de carbone devient de moins en moins mesurable, cette méthode nous permet de dater de objets jusqu’à 35000 ans. Datation au Potassium-Argon (40P – 39Ar) : Cette méthode repose sur la désintégration du Potassium 40 ; elle permet des mesures allant jusqu’à plusieurs centaines de millions d’années. Datation de Rubidium-Strontium(87Rb-87Sr) : La demi-vie du Rubidium qui se désintègre en formant le Strontium 87 est de 48,8 milliards d’années. La méthode permet de mesurer des roches jusqu’à quelques milliards d’années. Il y d’autres méthodes de datation telles que la dendrochronologie La thermoluminescence (mesure la dose d’énergie stockée) ; l’analyse spectrale (mesurer les objets présents dans l’univers). Pour deux fossiles l’un trouvé à l’équateur et l’autre prés de l’un des pôles, mesurés avec le même élément on trouve qu’ils ont le même âge avec les mêmes tolérances, réellement le fossile de l’équateur est plus vieux que celui du pôle, vu le ralentissement de la désintégration par l’effet de la force centrifuge est plus important a l’équateur. Le temps ajouté par demi-vie est :

 : Longueur d’onde de l’élément utilisé (m)
 : Accélération de la terre à l’endroit considéré (m/s/s)

F : Force centrifuge à l’endroit considéré (N) m : Masse du fossile (kg) R : Rayon de la terre à l’endroit considéré (m) 28 phénomene de l’enceinte lumineuse Dans une enceinte lumineuse transparente de profil rectangulaire ou carré et langue (80cm) ; on place 02 ou 03 lampes rouges et intenses ; on filme l’enceinte . on remarque dans le filme deux flux de lumiere intense de part et d’autre de l’enceinte . 29 déviation d’une coulée d’eau Si on verse quelques centilitres d’eau sans vitesse initiale sur une plaque lisse inclinée à 10° environ au cous du chemin de décente l’eau dévie à gauche sur la plaque . 30 reflexion de la chaleur Si on fixe un chalumeau avec une flamme sans dard sur une surface d’eau (bac d’eau ) avec un angle incident i ,la majorité de la chaleur est réfléchie sur un angle de réflexion par rapport à la surface de l’eau i=r 31 flexion des poteaux Au coucher du soleil , le soleil en face de nous dans une voiture de 40 à 60 km/h ; on filme la route , on visionne le filme on remarque que le haut des poteaux au bord de la route tomber très vite par terre suivant ; une courbe semi circulaire cela est du d’après moi à l’inversement très rapide des couches d’air au moment de l’aurore . 32 Etoile de delhoun Apres l’explosion intense d’une étoile ultra géante une petite étoile est formée à son noyau suite à une force de gravité ultra grande , ce noyau est formé par des quarks et quelques noyaux qui sont écrasés la rotation de cette étoile est ultra rapide et elle est ultra dense . Ces 32 travaux scientifiques inédits appartiennent au chercher (savant) monsieur delhoum brahim né la 05/ Juillet/1954 à el-eulma une ville à l’est de l’Algérie. ingénieur électronicien et 1=er cycle ingénieur en génie mécanique baccalauréat maths . Adresse : delhoum brahim bp 138 el-eulma 19600 (w/setif) Algérie Email : delhoum031@gmail.com Mobil : 00213673883580 Ces 32 travaux scientifiques : en mathématiques- physique – paléontologie – anthropologie – astronomie et philoscience ce mot est choisi par moi qui remplace la philosophie scientifique . Tous ces travaux sont enregistres au niveau de de la bibliotheque nationale d’Algérie et à l’office nationale des droits d’auteur sans le exploiter . Jai enseigné au lycée technique et une école d’une entreprise nationale 1=ere en Afrique

les matières suivantes :

maths – physique – chimie – sciences –industrielles – métrologie – automatisme – métallurgie – électrotechnique – ajustage –rectification – bureau d’étude – bureau des méthodes – technologie de construction- technologie de fabrication dessin technique.

Mes remerciements