File:Les comédiens français dans les cours d'Allemagne au XVIIIe siècle (1901) (14783131405).jpg

Identifier: lescomdiensfra03oliv (find matches)
Title: Les comédiens français dans les cours d'Allemagne au XVIIIe siècle
Year: 1901 (1900s)
Authors: Olivier, Jean Jacques
Subjects: Theater Actors French drama (Comedy)
Publisher: Paris : Société Française d'Imprimerie et de Librairie
Contributing Library: Boston Public Library
Digitizing Sponsor: University of Ottawa

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tragédien. .,..., .iic...xi.., . ..v.c.^.^.. tarent donnés lors Russie et sa fiancée Sophie de Wiirtem- es reçurent le Grand- i haiie viVi- Toussaint) se rendit au- îLj.^f j ijineriale pour lui souhaiter la bienvenue ; M® Fleurv tenait le rôe, chanta une ariette que *u théà Cavalierhaus la.tragi- cëdée d un a-propos en lhonneur du Le dccor de eu i-roiOj^uc, lisoas-nous dans une relation, représentait•une riante campagne où ?s T^lai^î-; ce rfiouissaiènt en chantant et endansant. Lun deux pr a présence leur joie plus complète. On ent; ~ najestue. t la- quelle le maître d. Divine- -in un nuage issant d* bonheur diis r .ruants de i;\neinsr:er^ .^ui voyaieni au r:lhéritier de !a Grande Catherine, puis il ordonna à rHvm?rde jonche e Prince dire par un céleste 1^; ... ^^, iviuse comique chî^ni Dieu de lHarmonie 2r, LHymen et lAmourla plus belle des -Hf? de fi:uirlandc ■ itfre du Grand-heureux --._,. .. .^......... de Sedaine tM ballet i iiouquet pris et repris (^^).
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Ar-ui.Hit flv mm 1 f lin / LA COUR DE RHEINSBERG La guerre de la Succession de Bavière (1778) interrompit lesspectacles du Cavalierhaus. Ils recommencèrent après la paix deTeschen, mais nous savons peu de choses des pièces et des acteursque la Gourde Rheinsberg applaudit à cette époque. En 1784, les comédiens du Prince Henry, pour fêter le retourde leur maître qui avait passé lhiver à Berlin, donnèrent unà-propos où le Dieu du Grinericksee et la Nymphe de la Spréecélébraient en ces termes le vainqueur de Freyberg : LA NYMPHE. Delà Sprée, otijétois Souveraine absolue, Je suis de source en source en ce lieu parvenue. LE DIEU. Et pourquoi fuir le séjour fortuné,LEmpire que le sort vous avoit destiné ? LA NYMPHE. Seigneur, si jai quitté ces aimables retraites,Ce nest pas pour vous voir ; calmez votre courroux ;Cest pour voir un mortel, qui, tout Dieu que vous êtes,A cent fois plus de mérite que vous. LE DIEU. De son mérite un Dieu pourrait être jaloux, Je le sa

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